Please décrire un moment de bonheur, un moment joyeux. Décrire ses sentiments.

Je me rappelle d'un jour en été quand j'étais enfant, qui a été le plus heureux que j'ai jamais vécu jusqu'à présent.
Nous étions en août, il faisait très chaud et là où je vivais il n'y avait pas grand chose à faire la journée pour s'occuper. Le temps était long, je restais affalée sur mon canapé près de la climatisation à regarder les tâches sur le plafond.
Quand soudain mon oncle entra dans le salon et me dit d'un air joyeux de m'habiller pour aller voir la nouvelle fête foraine qui venait de s'installer en ville. J'ai sauté hors du canapé et ai couru pour aller me préparer.
Une fois sur la place du village je n'en revenais pas. Il y avait tant de couleurs, tant de lumières et tant de bonnes odeurs de crêpes et de barbe à papa ! C'était fou, je n'avais encore jamais vu ça.
Mon oncle m'a donné dix tickets pour que je puisse faire des manèges et j'ai passé l'après midi entière à rire et à m'amuser comme jamais. Ce jour là j'ai vraiment était heureuse et insouciante, je ne pensais qu'à m'amuser ! À la fin de la journée, je me rappelle même que j'avais mal aux joues tellement j'avais ri. Cela restera pour moi un de mes meilleurs souvenirs.

Salut,
Je vais te décrire un moment de bonheur.

Quand j'étais plus petite, je voyais souvent des gens dormir dans la rue, des SDF. A ce moment-là, j'étais encore petite, je ne savais pas ce qui se passait. Je ne savais pas que ces personnes étaient démunies : n'avaient ni argent, ni nourriture, ni logement, ni ressources quelconques.
Bref, moi je vivais ma vie, sans me préoccuper de ces SDF. Je ne comprenais pas ce qu'ils vivaient puisque moi, j'avais ma vie parfaite.

En entrant en 6ème, on a parlé du seuil de pauvreté, des SDF, et c'est là que j'ai compris. J'étais vraiment malheureuse, pendant que moi, je menais une vie tranquille de petite princesse, des gens souffraient, avaient faim, avaient froid et moi, je n'en savais rien.
C'est à ^partir de là que mon mode de vie à changé.

Quand mes parents me donnaient de l'argent de poche, je ne le dépensait pas pour acheter quelque chose qui me faisait plaisir. Je voulais m'acheter la paire des dernières chaussures à la mode, le dernier pull, sweat qui était soti et que tout le monde portait. Mais je me suis abstenue. Je me suis dit : Stop, ma petite Karol. Tu as été assez aveugle comme ça. A partir de maintenent