Ma prof de français veut que je trouve des métaphores sur un paysage plus précisément un paysage d'île déserte.

C'était une minuscule îles discrètement magnifique,entourée d'une barrière de corail qui développait une palette de couleurs incroyables,  d'un tableau inaccessible. Dans ce décor de photo,impossible pour toute embarcation 
de s'y approcher de trop près, bien loin de mon désir. J'étais dévorée de remords. Seulement la contourner. Pourtant, il ne faudrait que quelques cinq jours pour l'explorer !
Déjà, dans les fonds marins, on y trouvait une appétissante végétation exotique et des récifs agrémentaient en cercle ce petit paradis. Les dauphins sautaient comme des carpes.On devinait d'autres étrangetés mystérieuses et lumineuses, à l'abri de mon pauvre regard et derrière une richesse de variétés de poissons et de belles grandes plantes marines.
Attirée par les murmures de bruits u dessus de moi, survolaient au dessus 
de majestueux oiseaux dont les grandes ailes blanches comme des avirons me faisaient de l'ombre, et crevaient le soleil. Autour de moi, les troncs d'arbres en ébène étaient plus noirs que les ailes d'un corbeau, et contrastaient avec l'écume blanche de la mer d'une pureté aveugle.
Dans cet inaccessible, la magie régnait en paix.